Sa beauté est légendaire, son regard intense. Sa nature, ardente. À l’image des passions qu’il déchaîne. Cheval des dieux et des hommes, le pur-sang arabe est un mythe vivant. Depuis la nuit des temps, il enchante, captive et rapproche les hommes en traversant le monde et les époques. Bien commun de l’humanité, il n’appartient à personne d’autre qu’à l’histoire et au patrimoine culturel mondial.

Plus de 40 ans après la première édition du Championnat Mondial du Cheval Arabe, le prince du désert brille toujours à Paris lors de ce rendez-vous incontournable qui honore une filière d’excellence, pièce maîtresse du monde équestre. Trois jours de Championnat où Paris se hisse au rang de capitale du Cheval Arabe et rend un hommage prestigieux à cette race ancestrale. À travers cet évènement iconique et empreint d’émotions, la France réunit les continents et les cultures autour d’une passion commune élevée au rang d’art. L’hexagone se fait alors l’écrin d’une tradition qu’elle a su préserver et partager au-delà des siècles et des frontières.

Ce rassemblement culturel hors-norme célèbre et récompense les qualités inégalées des pur–sang arabes. Y concourir, c’est contribuer à élever toujours plus haut les standards de son élevage d’excellence. La grâce, la résistance et l’intelligence du cheval arabe traversent les âges et sont autant de talents et critères nobles que l’élite du monde équestre préserve au fil des générations et au sein d’élevages au savoir-faire unique. Le Championnat Mondial est pour la filière l’aboutissement d’un parcours d’exception et un moment privilégié de partage et de transmission entre propriétaires, éleveurs, entraîneurs, dresseurs et membres du jury.

Que le rideau s’ouvre et que le spectacle commence ! Sous le feu des projecteurs, le pur-sang arabe entre en scène. Les équipes et les spectateurs embarquent alors pour un voyage hors du temps. Tous s’émerveillent de l’héritage de la perle du Moyen-Orient. Entre le public du Championnat et les chevaux, un lien unique se tisse. Un instant précieux et merveilleux où, dans leur altérité, l’homme et l’animal ne font plus qu’un.